Impacts des PM2.5 sur la qualité de l’air dans le district de Bamako

Résumé : les particules sont devenues aujourd’hui une préoccupation majeure à Bamako compte tenu de ses effets néfastes sur l’environnement.  L’objectif fondamental vise à analyser les impacts des PM2.5 sur la qualité de l’air à Bamako. L’approche méthodologique a consisté à faire la recherche docum...

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Published inAkofena Vol. 1; no. 13
Main Author Bakary DAGNO, Mahamadou CISSE, Ibrahima DEMBELE, Alassan KEITA, Abdoulaye TOGO, Moussa Adama COULIBALY & Kodio DEBE
Format Journal Article
LanguageGerman
Published CRAC, INSAAC 01.09.2024
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Summary:Résumé : les particules sont devenues aujourd’hui une préoccupation majeure à Bamako compte tenu de ses effets néfastes sur l’environnement.  L’objectif fondamental vise à analyser les impacts des PM2.5 sur la qualité de l’air à Bamako. L’approche méthodologique a consisté à faire la recherche documentaire, à élaborer les guides d’entretien et à déterminer les prélèvements sur les sites. L’échantillonnage aléatoire simple a été utilisé et a concerné 10 sites de prélèvements sur 32 sites prospectés soit un pas de sondage de 10/32 soit 1/3. Nous avons utilisé les matériels tels que : le Global Positionning System (GPS), le capteur: aeroqual série 500. Les logiciels SPSS, Excel, World ont été utilisés. Les résultats sont: les PM2.5 sont présentes sur tous les sites et pendant les toutes les périodes. Pendant la journée du 19 janvier 2022, sur les deux rives, trois sites ont dépassé la norme de l’OMS, mais la grande valeur d’immission a été enregistrée à la Tour de l’Afrique (71,16µg/m3). Pendant la journée du 28 avril 2022, sur la rive droite, le polluant a dépassé la norme sur tous les sites et la concentration la plus importante est enregistrée à l’intersection lycée Kankou Moussa  (96,07µg/m3). Lors des prélèvements du 10 mai 2022 sur la rive gauche, seul site, place de l’indépendance a dépassé la norme avec 17,79µg/m3. Enfin pendant la journée du 8 août 2022, sur les deux rives, les PM2.5  sont présentes sur tous les sites mais l’entrée à l’auto-gare a enregistré  la plus grande valeur  (24,9 µg/m3).La DNCPN ne dispose aucun appareil de prélèvement des polluants dans l’air. La gestion de la qualité de l’air nécessiterait une gestion intégrée et concertée, l’application des textes, l’acquisition des appareils appropriés aux prélèvements et à l’analyse de l’air ambiant. Mots clés : impacts ; PM2.5 ; qualité de l’air; District de Bamako
ISSN:2706-6312
2708-0633
DOI:10.48734/akofena.n013.vol.1.24.2024