Gestion intégrée du puceron Pentalonia nigronervosa par la stratégie push-pull dans la région de Bengamisa, RD Congo

De cette étude, il a été question de tester l’hypothèse selon laquelle la stratégie push-pull rendrait disponible au sein ou à proximité des cultures à protéger, des ressources qui contribuent à leur efficacité telles que des refuges physiques, des hôtes alternatifs, des sources de nourriture ou des...

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Published inRevue Marocaines des sciences agronomiques et vétérinaires Vol. 6; no. 4
Main Authors Muller LOFINDA LIFAKE, Thierry HANCE, Godefroid MONDE TE KAZANBGA
Format Journal Article
LanguageEnglish
Published Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II 01.12.2018
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Summary:De cette étude, il a été question de tester l’hypothèse selon laquelle la stratégie push-pull rendrait disponible au sein ou à proximité des cultures à protéger, des ressources qui contribuent à leur efficacité telles que des refuges physiques, des hôtes alternatifs, des sources de nourriture ou des signaux attractifs. De ce fait, les résultats de l’étude montrent que la tomate s’est révélée meilleure plante attractive des aphidiphages en relation avec la culture de bananier dans la région de Bengamisa par son effet Bottom-Up, renforcé par l’effet Top Down et par l’effet de confusion lors des relations push-pull. Enfin, la lutte biologique par conservation peut être considérée comme une meilleure stratégie de lutte contre P. nigronervosa à Bengamisa en République Démocratique du Congo. Mots clés : Lutte biologique, Push-pull, Pentalonia nigronervosa Coquerel
ISSN:2028-991X
2550-4401