La fin du roman et le « sens ultime
Cette étude apporte une nouvelle perspective sur un aspect fondamental et peu étudié du roman Illusions perdues de Balzac, à savoir la problématique autour de la fin et de la clôture. Même si, à première vue, ce roman est « lisible » dans le sens de Roland Barthes, avec un récit plein, achevé et clo...
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Published in | Orbis litterarum Vol. 69; no. 6; pp. 470 - 507 |
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Main Author | |
Format | Journal Article |
Language | English French |
Published |
Malden
Wiley Subscription Services, Inc
01.12.2014
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Summary: | Cette étude apporte une nouvelle perspective sur un aspect fondamental et peu étudié du roman Illusions perdues de Balzac, à savoir la problématique autour de la fin et de la clôture. Même si, à première vue, ce roman est « lisible » dans le sens de Roland Barthes, avec un récit plein, achevé et clos, sa fin n'est guère du type « réaliste » qui « va sans dire », selon la formulation de Armine Kotin Mortimer dans La clôture narrative (1985). L'examen sera fait à partir de certaines hypothèses et questions formulées dans les ouvrages généraux sur la fin et la clôture dans les récits narratifs. Que dire en effet du rôle et de l'importance de la fin dans Illusions perdues – et de la relation entre le début et la fin ? Quel est, concrètement, le rapport entre la fin et une sorte de « sens de l'œuvre », constaté par exemple par Mortimer, Peter Brooks (1984), Andrea Del Lungo (2010) et Vincent Jouve (2001). |
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ISSN: | 0105-7510 1600-0730 |
DOI: | 10.1111/oli.12057 |