De la notation ESG déclarative aux stress test d’alignement sur l’Accord de Paris et les Objectifs de développement durable
La notation des grandes entreprises sur la base des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) a émergé dans les années 2000. Basée sur un modèle déclaratif multi-critères, elle a créé un « big data » ESG peu lisible, puisque non standardisé. La nature des informations fournies est...
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Published in | Réalités industrielles Vol. Novembre 2019; no. 4; pp. 87 - 92 |
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Format | Journal Article |
Language | French |
Published |
Paris
Institut Mines-Télécom
04.11.2019
La Francaise de Financement et d'Edition (FFE) |
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Summary: | La notation des grandes entreprises sur la base des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) a émergé dans les années 2000. Basée sur un modèle déclaratif multi-critères, elle a créé un « big data » ESG peu lisible, puisque non standardisé. La nature des informations fournies est déterminée par les entreprises, en termes de périmètres, de méthodologies et d’indicateurs, ce qui rend quasi impossible toute comparaison au sein d’un même secteur et même d’un exercice à l’autre.Depuis 2015, année d’adoption de l’Accord de Paris et des Objectifs de développement durable qui ont créé des objectifs globaux à atteindre, l’évaluation des entreprises sur la base des dimensions ESG change. Il s’agit maintenant de mesurer l’impact réel de leurs activités, sur un plan positif et négatif, et d’analyser leur stratégie pour tester leur capacité de résilience aux grands défis environnementaux et sociaux qu’elles vont devoir affronter. |
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Bibliography: | Finance, entreprise et long terme |
ISSN: | 1148-7941 2271-7978 |
DOI: | 10.3917/rindu1.194.0087 |