De La Poupée sanglante aux Mains d’Orlac : la greffe et l’automate au prisme de l’adaptation
La présente étude se penche sur l’intersection de l’art et de la science, ainsi que sur l’ambiguïté genrée, se cristallisant en la figure de la créature artificielle, à partir de deux exemples classiques français, diversement adaptés à l’écran : La Poupée sanglante/La Machine à assassiner (1923/24)...
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Published in | Revue de littérature comparée Vol. 381; no. 1; pp. 35 - 48 |
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Main Author | |
Format | Journal Article |
Language | French |
Published |
Paris
Klincksieck
01.01.2022
Éditions Klincksieck |
Subjects | |
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Summary: | La présente étude se penche sur l’intersection de l’art et de la science, ainsi que sur l’ambiguïté genrée, se cristallisant en la figure de la créature artificielle, à partir de deux exemples classiques français, diversement adaptés à l’écran : La Poupée sanglante/La Machine à assassiner (1923/24) de Gaston Leroux, roman devenu mini-série télévisée en 1976 grâce à Marcel Cravenne ; Les Mains d’Orlac (1920) de Maurice Renard, porté au cinéma notamment par Robert Wiene ( Orlacs Hände , 1924) et Karl Freund ( Mad Love , 1935). |
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Bibliography: | Varia |
ISBN: | 225204666X 9782252046661 |
ISSN: | 0035-1466 1965-0264 |
DOI: | 10.3917/rlc.381.0039 |