Rate, Time Course, and Predictors of Implantable Cardioverter Defibrillator Infections: An Analysis From the SIMPLE Trial
The number of implantable cardioverter defibrillator (ICD) infections is increasing due to an increased number of ICD implants, higher-risk patients, and more frequent replacement procedures, which carry a higher risk of infection. Reducing the morbidity, mortality, and cost of ICD-related infection...
Saved in:
Published in | CJC open (Online) Vol. 2; no. 5; pp. 354 - 359 |
---|---|
Main Authors | , , , , , , , , , , , , , |
Format | Journal Article |
Language | English |
Published |
United States
Elsevier Inc
01.09.2020
Elsevier |
Subjects | |
Online Access | Get full text |
Cover
Loading…
Summary: | The number of implantable cardioverter defibrillator (ICD) infections is increasing due to an increased number of ICD implants, higher-risk patients, and more frequent replacement procedures, which carry a higher risk of infection. Reducing the morbidity, mortality, and cost of ICD-related infections requires an understanding of the current rate of this complication and its predictors.
The Shock Implant Evaluation Trial (SIMPLE) trial randomized 2500 ICD recipients to defibrillation testing or not. Over an average of 3.1 years, patients were seen every 6 months and examined for evidence of ICD infection, which was defined as requiring device removal and/or intravenous antibiotics.
Within 24 months, 21 patients (0.8%) developed infection. Fourteen patients (67%) with infection presented within 30 days, 20 patients by 12 months, and only 1 patient beyond 12 months. Univariate analysis demonstrated that patients with primary electrical disorders (3 patients, P = 0.009) and those with a secondary prevention indication (13 patients, P = 0.0009) were more likely to develop infection. Among the 2.2% of patients who developed an ICD wound hematoma, 10.4% developed an infection. Among the 8.3% of patients requiring an ICD reintervention, 1.9% developed an infection.
This cohort of ICD recipients at high-volume centres have a low risk of device-related infection. However; strategies to reduce wound hematoma and the need for ICD reintervention could further reduce the rate of infection.
L’incidence des cas d’infection du défibrillateur cardioverteur implantable (DCI) augmente en raison du nombre accru d’implantations, de l’emploi de ces dispositifs chez des patients exposés à un risque très élevé et de l’augmentation de la fréquence des interventions de remplacement, qui sont associées à un plus grand risque d’infections. Pour parvenir à réduire la morbidité, la mortalité et les coûts associés aux infections liées à un DCI, il faut connaître la fréquence de cette complication et les facteurs qui permettent de la prédire.
Lors de l’essai ShockImplantEvaluation Trial (SIMPLE), 2 500 patients ayant reçu un DCI ont été répartis aléatoirement en deux groupes, l’un subissant des tests de défibrillation et l’autre, non. Sur une période de 3,1 ans en moyenne, les patients ont été vus en consultation tous les 6 mois et examinés à la recherche de signes d’infection du DCI, définie comme étant une infection exigeant le retrait du dispositif et/ou l’administration d’antibiotiques par voie intraveineuse.
Au total, 21 patients (0,8 %) ont présenté une infection dans les 24 mois suivant l’implantation. Quatorze patients (67 %) ont présenté une infection dans les 30 jours suivant l’intervention; à 12 mois, 20 patients avaient présenté une infection. Un seul patient a présenté une infection plus de 12 mois après l’intervention. Les résultats d’une analyse univariée ont démontré qu’une infection était plus probable chez les patients qui présentaient un trouble électrique primaire (3 patients, p = 0,009) et chez ceux qui avaient reçu un dispositif en prévention secondaire (13 patients, p = 0,0009). Parmi les patients qui présentaient un hématome après l’implantation du DCI (2,2 %), 10,4 % ont présenté une infection. Parmi les patients qui ont eu besoin d’une nouvelle intervention relative au DCI (8,3 %), 1,9 % ont présenté une infection.
Les patients de cette cohorte ayant reçu un DCI dans des établissements à haut volume étaient exposés à un faible risque d’infection du défibrillateur. Des stratégies visant à réduire les hématomes et la nécessité d’une nouvelle intervention sur les DCI pourraient toutefois contribuer à réduire encore plus la fréquence des infections. |
---|---|
Bibliography: | ObjectType-Article-1 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-2 content type line 23 |
ISSN: | 2589-790X 2589-790X |
DOI: | 10.1016/j.cjco.2020.04.008 |