Bone-marrow mononuclear cell therapy of severe ischemic heart failure
We describe cell therapy for severe ischemic heart failure using transendocardial injection of autologous bone-marrow-derived mononuclear cells. The treated patients had significantly less heart failure and angina, sustained significant improvement of pumping power, exercise capacity, cardiac muscle...
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Published in | Comptes rendus. Biologies Vol. 330; no. 6; pp. 543 - 549 |
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Main Authors | , , , , , |
Format | Journal Article Conference Proceeding |
Language | English |
Published |
Paris
Elsevier SAS
01.06.2007
Elsevier |
Subjects | |
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Summary: | We describe cell therapy for severe ischemic heart failure using transendocardial injection of autologous bone-marrow-derived mononuclear cells. The treated patients had significantly less heart failure and angina, sustained significant improvement of pumping power, exercise capacity, cardiac muscle irrigation, and blood supply to the body. Electrical and mechanical mappings of the myocardium before and after the therapy, and anatomopathological examination of the myocardium of one of the patients that had deceased of a stroke eleven months after the treatment indicated sustained neoangiogenesis and improvement of activity and quantity of cardiomyocytes in the injected regions. Post-hoc analyses of injected cell phenotype and improvement of myocardial function indicate that presence of CD8+ and CD56+ cells does not correlate with good prognostics, suggesting a possibility of cell selection. For ‘no-option’ severe cardiac patients, significant benefits of cell therapy and absence of adverse effects may justify the application of bone-marrow-derived cell therapy.
To cite this article: H.F.R. Dohmann et al., C. R. Biologies 330 (2007).
Nous décrivons la thérapie d'ischémies graves du myocarde par injections trans-endocardiques de cellules autologues mononucléaires de la moelle osseuse. Les malades traités ont montré une diminution significative de l'angine et une amélioration permanente de l'activité cardiaque, de la capacité d'exercice physique, d'irrigation du myocarde et de la circulation systémique. L'analyse de l'activité électrique et contractile du myocarde avant et quatre mois après la thérapie, ainsi que l'analyse anatomopathologique du cœur d'un des malades décédé onze mois après la thérapie à la suite d'un accident vasculaire cérébral, ont révélé une angiogenèse et une augmentation de l'activité et de la quantité de cardiomyocytes dans les régions traitées. L'analyse comparative des résultats du traitement et de la composition de cellules injectées a montré que la quantité de cellules CD8+ et CD56+ n'est pas associée au bon pronostic. Ce résultat peut indiquer une sélection de cellules de la moelle osseuse devant être injectées. Du fait de l'absence d'effets indésirables et du caractère significativement bénéfique du traitement décrit, les thérapies cellulaires peuvent dès à présent représenter une proposition raisonnable pour les malades à qui ne peut être offerte aucune autre thérapie.
Pour citer cet article : H.F.R. Dohmann et al., C. R. Biologies 330 (2007). |
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Bibliography: | ObjectType-Article-2 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-1 content type line 23 ObjectType-Feature-3 ObjectType-Review-1 |
ISSN: | 1631-0691 1768-3238 |
DOI: | 10.1016/j.crvi.2007.01.007 |