Pure abscopal effect of radiotherapy in a salivary gland carcinoma: Case report, literature review, and a search for new approaches

• Published in: Cancer radiothérapie Vol. 24; no. 3; pp. 226 - 246
• Main Authors: Ellerin, B.E., Demandante, C.G.N., Martins, J.T.
• Format: Journal Article
• Language: English
• Published: France Elsevier Masson SAS 01.06.2020
• Subjects: Abscopal effect; Effet abscopal; Homing lymphocytaire; Immunotherapy; Immunothérapie; Lymphocyte homing; Nanotechnologies; Nanotechnology; Homing lymphocytaire; Effet abscopal; Nanotechnologies; Abscopal effect; Immunotherapy; Lymphocyte homing; Immunothérapie; Nanotechnology
• ISSN: 1278-3218; 1769-6658
• DOI: 10.1016/j.canrad.2020.01.001

We report the case of an 84-year-old woman with poorly differentiated non-small cell carcinoma of the right parotid who presented with headache, was found to have a primary right parotid gland cancer as well as metastatic disease, and underwent palliative radiotherapy to the primary site. The patient received no chemotherapy or immunotherapy, but both the primary site and several non-irradiated foci in the lungs regressed or completely resolved. The patient remained free of disease for about one year before progression. The case is a rare instance of abscopal regression of metastatic disease in the absence of pharmacologic immunomodulation. A literature review surveys the history of the abscopal effect of radiation therapy, attempts to understand the mechanisms of its successes and failures, and points to new approaches that can inform and improve the outcomes of radioimmunotherapy. Nous rapportons ici le cas clinique d’une femme âgée de 84 ans qui s’est présentée avec un mal de tête. Le bilan médical a révélé un cancer de la glande parotide droite aussi bien que des métastases pulmonaires. Elle a reçu une radiothérapie à visée palliative de la tumeur primaire. La patiente n’a reçu ni chimiothérapie ni immunothérapie. Pourtant, la tumeur primaire et toutes les métastases pulmonaires se sont résolues. La patiente est restée sans maladie clinique pendant environ un an avant la récidive. Ce cas clinique représente un des cas peu fréquents de la résolution abscopale d’un cancer métastatique après une radiothérapie en l’absence d’immunomodulation pharmacologique. Une analyse documentaire passe en revue l’histoire de l’effet abscopal de la radiothérapie, cherchant à déterminer les mécanismes de ses succès et de ses échecs et suggérant de nouvelles approches qui pourraient améliorer le taux de réussite de la combinaison de la radiothérapie et de l’immunothérapie.