Eating and conserving bushmeat in Africa
In Africa, overhunting of tropical wildlife for food remains an intractable issue. Donors and governments remain committed to invest in efforts to both conserve and allow the sustainable use of wildlife. Four principal barriers need to be overcome: (i) communities are not motivated to conserve wildl...
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Published in | African journal of ecology Vol. 54; no. 4; pp. 402 - 414 |
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Main Authors | , , , , , , , , |
Format | Journal Article |
Language | English |
Published |
Nairobi
Blackwell Publishing Ltd
01.12.2016
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Summary: | In Africa, overhunting of tropical wildlife for food remains an intractable issue. Donors and governments remain committed to invest in efforts to both conserve and allow the sustainable use of wildlife. Four principal barriers need to be overcome: (i) communities are not motivated to conserve wildlife long‐term because they have no formal rights to benefit from wildlife, or to exclude others from taking it on their land; (ii) multispecies harvests, typical of bushmeat hunting scenarios, place large‐bodied species at risk of extinction; (iii) wildlife production cannot expand, in the same way that livestock farming can, to meet the expected growth in consumer demand; and (iv) wildlife habitat is lost through conversion to agriculture, housing, transportation networks and extractive industries. In this review, we examine the actors involved in the use of wildlife as food and discuss the possible solutions required to address urban and rural bushmeat consumption. Interventions must tackle use and conservation of wildlife through the application of context‐relevant interventions in a variety of geographies across Africa. That said, for any bushmeat solution to work, there needs to be concurrent and comparable investment in strengthening the effectiveness of protected area management and enforcement of wildlife conservation laws.
Résumé
En Afrique, la chasse excessive de la faune tropicale pour la consommation reste un problème difficile. Les bailleurs et les gouvernements continuent à s'engager à investir dans la conservation et l'utilisation durable de la nature. Mais il faut vaincre quatre obstacles majeurs: (i) les communautés ne sont pas très motivées par la conservation de la nature à long terme parce qu'elles ne jouissent d'aucun droit d'en tirer profit ou d'empêcher d'autres personnes d'en tirer de leurs terres; (ii) les collectes de plusieurs espèces, typiques des scénarios de la chasse de viande de brousse, mettent les plus grosses espèces en danger d'extinction; (iii) la production de viande de brousse ne peut pas, comme le fait la production de bétail domestique, répondre à la demande croissante attendue des consommateurs et; (iv) les habitats de la faune sauvage sont perdus parce qu'ils sont convertis en terres agricoles, en lieux de résidence, en réseaux de transports et en industries extractives. Dans cet article, nous examinons les acteurs impliqués dans la consommation de produits de la nature et nous discutons les solutions possibles nécessaires pour répondre à la consommation urbaine et rurale de viande de brousse. Les interventions doivent s'attaquer à l'usage et à la conservation de la nature grâce à des mesures pertinentes adaptées à toute la variété géographique africaine. Ceci dit, pour qu'une mesure concernant la viande de brousse marche, il faut qu'il existe parallèlement un investissement comparable dans le renforcement de l'efficacité de gestion des aires protégées et de l'application des lois sur la conservation de la nature. |
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ISSN: | 0141-6707 1365-2028 |
DOI: | 10.1111/aje.12392 |