Effects of restriction of wild herbivore movement on woody and herbaceous vegetation in the Okavango Delta Botswana
We conducted herbaceous and woody vegetation surveys across Botswana's southern Okavango Buffalo Fence, which separates wildlife management from tribal grazing areas, to determine whether the restriction of herbivore movement by fencing has influenced vegetation composition, diversity and struc...
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Published in | African journal of ecology Vol. 51; no. 4; pp. 513 - 527 |
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Main Authors | , , |
Format | Journal Article |
Language | English |
Published |
Oxford
Blackwell Publishing Ltd
01.12.2013
Blackwell |
Subjects | |
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Summary: | We conducted herbaceous and woody vegetation surveys across Botswana's southern Okavango Buffalo Fence, which separates wildlife management from tribal grazing areas, to determine whether the restriction of herbivore movement by fencing has influenced vegetation composition, diversity and structure. We sampled herbaceous and woody vegetation at twenty paired sites every 2 km along the fence. For the herbaceous layer, ten 0.25 m2 quadrats were laid every 10 m perpendicular to the fence; while for the woody vegetation, variable quadrat plots were used. Paired t‐tests were run. Results show little difference in forb or grass composition between the two sides. However, the cover and diversity of many woody species were greatly reduced across most height classes on the wildlife management side. Overall woody cover on the wildlife side of the fence was nearly half that of the tribal grazing side (t = 2.83, P = 0.011, df = 19), while overall wood diversity was also significantly less on the wildlife side (t = 3.29, P = 0.004, df = 19). We conclude that the concentration of wildlife due to the fence, while improving habitat for some herbivore species, is having a detrimental effect on plant diversity in general.
Résumé
Nous avons mené des recherches sur la végétation herbacée et ligneuse le long de la ‘Buffalo Fence’ du sud de l'Okavango, au Botswana, qui sépare la zone de gestion de la faune de celle des pâturages tribaux, pour savoir si la limitation des déplacements des herbivores par cette clôture influence la composition de la végétation, sa diversité et sa structure. Nous avons prélevé des échantillons de végétation herbacée et ligneuse sur twenty paires de sites, tous les deux kilomètres, le long de la clôture. Pour la couche herbacée, dix quadrats de 0,25 m² furent tracés tous les dix mètres, perpendiculairement à la clôture, alors que pour la végétation ligneuse, des parcelles variables étaient utilisées. Des tests de t pour données appariées furent faits. Les résultats montrent peu de différences pour la composition des herbes mono‐ ou dicotylédones entre les deux côtés. Cependant, la couverture et la diversité de nombreuses espèces ligneuses étaient fortement réduites pour la plupart des huit classes du côté où la faune sauvage est gérée. En général, la couverture ligneuse du côté réservé à la faune sauvage était à peu près la moitié de celle observée du côté du pâturage tribal (t = 2,83, P = 0,011, df = 19), et la diversité ligneuse globale était aussi significativement moins grande du côté attribué à la faune sauvage (t = 3,29, P = 0,004, df = 19). Nous en concluons que la concentration de la faune sauvage causée par la présence de la clôture, tout en améliorant l'habitat pour certaines espèces d'herbivores, a un effet négatif sur la diversité végétale en général. |
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Bibliography: | ark:/67375/WNG-R3DKVBPG-J ArticleID:AJE12061 University of Botswana's Office of Research and Development - No. R875 istex:DFC5A37A738F01054E9DF4CA60C4DE540CA4E0B2 ObjectType-Article-2 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-1 content type line 23 |
ISSN: | 0141-6707 1365-2028 |
DOI: | 10.1111/aje.12061 |