Contribution of postprandial glucose to chronic hyperglycaemia: from the “glucose triad” to the trilogy of “sevens”

Even though fasting and postprandial glucose are both contributors to the overall hyperglycaemia as observed in patients with type 2 diabetes, their respective contributions are varying with the degree of diabetic control. The contribution of postprandial glucose is predominant in patients with sati...

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Published inDiabetes & metabolism Vol. 32; pp. 2S11 - 2S16
Main Authors Monnier, L., Colette, C., Boniface, H.
Format Journal Article
LanguageEnglish
Published France Elsevier Masson SAS 01.09.2006
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Summary:Even though fasting and postprandial glucose are both contributors to the overall hyperglycaemia as observed in patients with type 2 diabetes, their respective contributions are varying with the degree of diabetic control. The contribution of postprandial glucose is predominant in patients with satisfactory control of diabetes (HbA 1c < 7.3%) whereas the contribution of fasting glucose increases progressively with worsening diabetes. As a consequence an overall picture of the diabetic control should normally be based on the assessment of the “glucose triad” with its three components: HbA 1c which integrates the diabetic control over a 3-month period, fasting and postprandial glucose. The two later are good indicators of the glycaemic regulation over the two main physiological periods of daytime: the fasting and postprandial states. Postprandial glucose concentrations should be more particularly tested at mid-morning time since in most patients this period corresponds to the highest glucose concentrations of daytime. However postprandial measurements at 2-h after lunch provide an evaluation of the overall diabetic control since we have demonstrated that glucose concentrations < 7 mmol/L at this time point are excellent predictors of HbA 1c levels < 7% (specificity ≥ 90%). Therefore, in order to simplify the work of health care providers the “glucose triad” concept can be translated into the trilogy of “sevens”: HbA 1c goals < 7% and postprandial glucose targets < 7 mmol/L 2-h after lunch, both for assessing a satisfactory diabetic control, and fasting glucose < 7 mmol/L for defining the non-diabetic state. Même si les glycémies à jeun et postprandiales contribuent toutes les deux à l’hyperglycémie globale observée chez les patients ayant un diabète de type 2, leurs contributions respectives varient avec le degré du contrôle du diabète. La contribution de la glycémie postprandiale est prédominante chez les diabétiques ayant un contrôle satisfaisant (HbA 1c < 7,3%), tandis que la contribution de la glycémie à jeun ne cesse d’augmenter quand l’équilibre du diabète se dégrade. De ce fait, une vision globale du contrôle du diabète devrait normalement être basée sur l’évaluation de la « triade glucose » avec ses 3 composantes: l’HbA 1c qui intègre l’équilibre diabétique sur une période de 3 mois, les glycémies à jeun et postprandiales. Les deux dernières composantes sont de bons indicateurs de la régulation glycémique au cours des deux grandes périodes physiologiques de la journée : les états de jeûne et postprandiaux. Les glycémies postprandiales devraient être plus particulièrement mesurées en milieu de matinée, c’est-à-dire au moment où la glycémie de la journée est la plus élevée chez la majorité des patients. Toutefois, les mesures 2 heures après le repas de midi fournissent une estimation de l’équilibre glycémique global. En effet, nous avons démontré qu’une glycémie < 7 mmol/L à ce moment de la journée prédit avec une spécificité ≥ 90% un taux d’HbA 1c < 7%. De ce fait, pour simplifier la tâche des médecins le concept de « triade glucose » peut être traduit en trilogie des « sept »: cibles d’HbA 1c < 7%, cibles de glycémie postprandiale < 7 mmol/L 2 heures après le repas de midi, ces deux indicateurs témoignant d’un équilibre diabétique satisfaisant, et glycémies à jeun < 7 mmol/L qui définissent l’absence de diabète.
Bibliography:ObjectType-Article-2
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content type line 23
ObjectType-Review-1
ISSN:1262-3636
1878-1780
DOI:10.1016/S1262-3636(06)70479-7