Evaluation of neurosurgical training of French military surgeons prior to their deployment
[Display omitted] A specific training course was formalized in 2007 in order to facilitate the management of cranio-encephalic injuries by French military general surgeons during deployment, within the Advanced Course for Deployment Surgery (ACDS). The objective is to evaluate the neurosurgical pre-...
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Published in | Neuro-chirurgie Vol. 67; no. 5; pp. 454 - 460 |
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Main Authors | , , , , , , , |
Format | Journal Article |
Language | English |
Published |
France
Elsevier Masson SAS
01.09.2021
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Subjects | |
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Summary: | [Display omitted]
A specific training course was formalized in 2007 in order to facilitate the management of cranio-encephalic injuries by French military general surgeons during deployment, within the Advanced Course for Deployment Surgery (ACDS). The objective is to evaluate the neurosurgical pre-deployment training course attended by the military surgeons.
From June 2019 to September 2019, we conducted a cross-sectional survey in the form of a digital self-completed questionnaire, addressed to all graduated military surgeons working in the French Military Training Hospitals. The survey included: (1) a knowledge assessment; and (2) a self-assessment of the training course. The participating surgeons were classified into two groups according to their participation (group 1) or not (group 2) in the neurosurgical module. The main outcome was the score received on the knowledge assessment.
Among the 145 military surgeons currently in service, 76 participated in our study (53%), of which 49 were classified in group 1 (64%) and 27 in group 2 (36%). Group 1 surgeons had a significantly higher score than Group 2 at the knowledge assessment (mean 21.0±7.1 vs. 17.8±6.0, P=0.041). The most successful questions were related to TBI diagnosis and surgical technique, while the least successful questions dealt with “beyond emergency care” and surgical indications.
The French pre-deployment neurosurgical training course provides a strong neurosurgical background, sufficient to perform life-saving procedures in a modern conflict situation. However, neurosurgical specialized advice should be solicited whenever possible to assist the in-theatre surgeon in surgical decisions.
Pour faciliter la prise en charge des traumatismes crâniocérébraux en opération extérieure, par les chirurgiens militaires français, un cours spécifique a été instauré depuis 2007 au sein du Cours avancé de chirurgie en mission extérieure (le CACHIRMEX). L’objectif de ce travail était d’évaluer la formation neurochirurgicale reçue par les chirurgiens militaires français avant leur déploiement sur les théâtres d’opération extérieure.
Une étude observationnelle multicentrique par autoquestionnaire a été conduite, entre septembre et juin 2019 auprès de l’ensemble des chirurgiens militaires en activité au sein des Hôpitaux militaires français. Le questionnaire comprenait : (1) un test de connaissances ; et (2) une autoévaluation de la formation neurochirurgicale reçue. Les chirurgiens participants étaient classés en deux groupes en fonction de leur participation (groupe 1) ou non (groupe 2) au cours de neurochirurgie du CACHIRMEX. Le critère de jugement principal était la note reçue au test de connaissances.
Sur les 145 chirurgiens militaires en activité au moment de l’étude, 76 ont participé à notre travail (53 %), dont 49 ont été classés dans le groupe 1 (64 %) et 27 dans le groupe 2 (36 %). La note au test de connaissance sur la traumatologie crânienne était significativement plus élevée chez les chirurgiens du groupe 1 par rapport à ceux du groupe 2 (moyenne de 21,0±7,1 vs 17,8±6,0, p=0,041). Les questions les plus réussies portaient sur le diagnostic scanographique et la technique chirurgicale. Les questions les moins réussies portaient sur l’urgence dépassée et les indications opératoires.
La formation de neurochirurgie CACHIRMEX fournit aux chirurgiens militaires des compétences neurochirurgicales suffisantes pour réaliser des chirurgies de sauvetage en zone de conflit. Cependant, un avis spécialisé doit être demandé au préalable à chaque fois que possible pour guider le chirurgien d’antenne dans sa prise de décision. |
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Bibliography: | ObjectType-Article-1 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-2 content type line 23 |
ISSN: | 0028-3770 1773-0619 |
DOI: | 10.1016/j.neuchi.2021.03.005 |