A Pilot Study in Fatigue Risk Management Among Obstetrics and Gynaecology Residents at the University of Alberta

Combatting fatigue is an ongoing challenge in surgical residency programs impacting both patient care and resident well-being. There is a gap in understanding the nuances of fatigue perpetuation, especially where it relates to specific on-call duties. This pilot study seeks to explore the extent of...

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Published inJournal of obstetrics and gynaecology Canada Vol. 46; no. 6; p. 102431
Main Authors Regan, Shauna, Russell, Skye, Simone, Kristen, Parkman, Julia, Sanaee, May
Format Journal Article
LanguageEnglish
Published Netherlands Elsevier Inc 01.06.2024
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Summary:Combatting fatigue is an ongoing challenge in surgical residency programs impacting both patient care and resident well-being. There is a gap in understanding the nuances of fatigue perpetuation, especially where it relates to specific on-call duties. This pilot study seeks to explore the extent of sleep deprivation among Obstetrics and Gynecology (OBGYN) residents and identify obstacles to obtaining adequate rest. A survey was sent out to all OBGYN residents at the University of Alberta, collecting demographic and baseline sleep information and assessing perceived barriers to sleep. Residents then self-selected for participation in the second portion which involved recording all pages in a 12-hour shift and assigning an acuity rating to them. Mixed methods were used including thematic analysis of the page acuity survey and descriptive statistics for the primary survey. In total, 21 residents completed the initial survey (67.7%) and 17 12-hour shifts were recorded. While junior residents (postgraduate year 1–2) and those carrying the low-risk pager slept less on call and had less sleep on days without call, barriers to sleep were not different when compared to senior residents and those carrying the high-risk pager. While low-risk and high-risk shifts had different primary contributors to fatigue (volume and acuity, respectively) both groups attributed fatigue to non-urgent pages. On review of pages, 49.4% were perceived as non-urgent. A total of 81% of residents supported the development of problem boards to reduce the number of non-urgent pages. This pilot study demonstrated residents, regardless of seniority or shift, found non-urgent pages to be a significant contributor to on-call fatigue and supported the use of problem boards to reduce pages. Our approach can provide a framework for other institutions to learn more about resident fatigue and non-urgent paging in their program. La lutte contre la fatigue est un défi constant dans les programmes de résidence en chirurgie, car la fatigue pèse autant sur la qualité des soins que sur le bien-être des résidents. Les nuances de la fatigue constante sont mal comprises, surtout lorsqu’elle se rapporte aux périodes de garde. Cette étude pilote vise à explorer l’ampleur du problème chez les résidents en obstétrique et gynécologie et à cerner les obstacles à l’obtention d’un repos adéquat. Un sondage a été envoyé à tous les résidents en gynécologie et obstétrique de l’Université de l’Alberta afin de recueillir des données démographiques et des informations de référence sur le sommeil, en plus d’évaluer les obstacles au sommeil perçus. Les résidents volontaires ont ensuite participé à la deuxième partie de l’étude, qui consistait à consigner tous les appels reçus lors d’une garde de 12 heures et à leur attribuer une cote d’acuité. Des méthodes mixtes ont été utilisées, notamment une analyse thématique pour le sondage sur l’acuité et des statistiques descriptives pour le sondage initial. Au total, 21 résidents ont répondu au sondage initial (67,7 %) et 17 gardes de 12 heures ont été consignées. Les résidents juniors (R1-R2) et les porteurs d’un téléavertisseur pour les cas à faible risque dormaient moins lorsqu’ils étaient de garde, et ce, même s’ils ne recevaient aucun appel. Toutefois, les obstacles au sommeil n’étaient pas différents chez les résidents en fin de formation et les porteurs d’un téléavertisseur pour les cas à risque élevé. Bien que les facteurs de contribution à la fatigue étaient différents entre les gardes à faible risque et à risque élevé (volume et acuité, respectivement), les deux groupes attribuaient la fatigue aux appels non urgents. À l’examen des appels, 49,4 % ont été considérés comme non urgents. L’idée de créer des tableaux de problèmes afin de réduire le nombre d’appels non urgents a reçu l’aval de 81 % des résidents. Cette étude pilote a démontré que les résidents, peu importe leur ancienneté ou le niveau de risque, trouvaient que les appels non urgents contribuaient de manière significative à la fatigue lors des périodes de garde, et qu’ils étaient en faveur de l’utilisation d’un tableau de problèmes pour réduire le nombre d’appels. Notre approche peut servir de cadre à d’autres établissements voulant se pencher sur la fatigue des résidents et les appels non urgents dans leurs programmes.
Bibliography:ObjectType-Article-1
SourceType-Scholarly Journals-1
ObjectType-Feature-2
content type line 23
ISSN:1701-2163
DOI:10.1016/j.jogc.2024.102431