Contemporary Outcomes of Acute Coronary Syndromes in Indigenous Compared With Non-Indigenous Patients: A Northern Saskatchewan Perspective

In patients presenting with an acute coronary syndrome (ACS), the impact of efforts to bridge historical care gaps between Indigenous and non-Indigenous patients remains limited. For consecutive ACS presentations (ST-segment elevation myocardial infarction [STEMI] and non–ST-segment elevation myocar...

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Published inCanadian journal of cardiology
Main Authors Shavadia, Jay S., Okpalauwaekwe, Udoka, Kim, Minyoung, Orvold, Jason, Pearce, Colin, King, Alexandra, Ametepee, Kehinde, Haddad, Haissam
Format Journal Article
LanguageEnglish
Published England Elsevier Inc 09.05.2024
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Summary:In patients presenting with an acute coronary syndrome (ACS), the impact of efforts to bridge historical care gaps between Indigenous and non-Indigenous patients remains limited. For consecutive ACS presentations (ST-segment elevation myocardial infarction [STEMI] and non–ST-segment elevation myocardial infarction [NSTEMI]/unstable angina [UA], respectively) at the Royal University Hospital, Saskatoon, we compared self-identified Indigenous and non-Indigenous patients’ demographics, treatments, and all-cause mortality (in-hospital and within 3 years). We used propensity score inverse probability weighting to mitigate confounding and Cox regression models to estimate the adjusted hazard ratio (aHR) for all-cause mortality. Of 3946 ACS patients, 37.2% (n = 1468) were STEMI, of whom 11.3% (n = 166) were Indigenous. Of the NSTEMI/UA (n = 2478), 12.6% (n = 311), were Indigenous. Overall, Indigenous compared with non-Indigenous patients were likely to be younger, female, have higher risk burden, and live more remotely; Indigenous STEMI patients triaged to primary percutaneous coronary intervention had longer times from first medical contact to device, and Indigenous NSTEMI/UA patients more likely to present with heart failure, cardiac arrest, and cardiogenic shock. No significant differences were noted for in-hospital mortality (STEMI 8.4% vs 5.7% [P = 0.16], NSTEMI/UA 1.9% vs 1.6% [P = 0.68]), although in follow-up, Indigenous STEMI patients were associated with a higher all-cause mortality risk (aHR 1.98, 95% CI 1.19-3.31; P = 0.009) with no between-group differences evident for NSTEMI/UA (aHR 1.03, 95% CI 0.63 1.69; P = 0.91). Indigenous compared with non-Indigenous patients presenting with an ACS had higher cardiovascular risk profiles and consequent residual mortality risk. Improving primary care and intensifying secondary risk reduction, particularly for Indigenous patients, will substantially modify ACS outcomes in Saskatchewan. L’incidence des efforts déployés pour combler l’écart historique au niveau des soins entre Autochtones et non-Autochtones demeure limitée chez les patients qui présentent un syndrome coronarien aigu (SCA). Nous avons comparé les caractéristiques démographiques, les traitements et la mortalité toutes causes confondues (à l’hôpital et pendant 3 ans) chez des patients qui se sont identifiés comme autochtones et non autochtones à l’occasion de consultations consécutives pour un SCA (infarctus du myocarde avec élévation du segment ST [STEMI] et infarctus du myocarde sans élévation du segment ST [NSTEMI]/angine instable [AI]) au Royal University Hospital de Saskatoon. Nous avons utilisé la technique de pondération inverse par le score de propension pour atténuer l’influence des facteurs confusionnels, et des modèles de régression de Cox pour estimer le rapport de risques ajusté (RRa) pour la mortalité toutes causes confondues. Sur 3 946 patients ayant présenté un SCA, 37,2 % (n = 1 468) ont présenté un STEMI, dont 11,3 % (n = 166) d’Autochtones. Parmi les patients ayant présenté un NSTEMI/une AI (n = 2 478), 12,6 % (n = 311) étaient autochtones. D’une manière générale, les patients étaient susceptibles d’être plus jeunes et de sexe féminin, d’avoir un fardeau de risque plus important et de vivre dans une région plus éloignée s’ils étaient autochtones. Le délai entre le premier contact médical et l’intervention a été plus long chez les patients autochtones ayant subi un STEMI traité par intervention coronarienne percutanée primaire, tandis que les patients autochtones ayant subi un NSTEMI/une AI étaient plus susceptibles de présenter une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et un choc cardiogénique. Aucune différence significative n’a été notée au niveau de la mortalité à l’hôpital (STEMI : 8,4 % vs 5,7 % [p = 0,16]; NSTEMI/AI : 1,9 % vs 1,6 % [p = 0,68]), bien qu’au suivi, le risque de mortalité toutes causes confondues ait été plus élevé chez les patients autochtones ayant subi un STEMI (RRa : 1,98; IC à 95 % : 1,19 à 3,31; p = 0,009) alors qu’aucune différence n’a été observée entre les groupes chez les patients ayant subi un NSTEMI/une AI (RRa : 1,03; IC à 95 % : 0,63 à 1,69; p = 0,91). Comparativement aux patients non autochtones, les patients autochtones ayant présenté un SCA affichaient un profil de risque cardiovasculaire plus élevé et donc, un risque de mortalité résiduel. Améliorer les soins primaires et réduire davantage les risques secondaires, particulièrement chez les patients autochtones, modifiera substantiellement l’issue du SCA en Saskatchewan. [Display omitted]
Bibliography:ObjectType-Article-1
SourceType-Scholarly Journals-1
ObjectType-Feature-2
content type line 23
ISSN:0828-282X
1916-7075
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DOI:10.1016/j.cjca.2024.04.025