Increasing Access to Mental Health Care Through Government-Funded Psychotherapy: The Perspectives of Clinicians
The lack of accessibility to mental health care in Canada has been described as a silent crisis with the Canadian Psychological Association proposing possible actions that could be taken to achieve increased accessibility (Peachey, Hicks, & Adams, 2013). Efforts to make psychotherapy more access...
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Published in | Canadian psychology = Psychologie canadienne Vol. 55; no. 2; pp. 80 - 89 |
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Main Authors | , |
Format | Journal Article |
Language | English |
Published |
Educational Publishing Foundation
01.05.2014
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Summary: | The lack of accessibility to mental health care in Canada has been described as a silent crisis with the Canadian Psychological Association proposing possible actions that could be taken to achieve increased accessibility (Peachey, Hicks, & Adams, 2013). Efforts to make psychotherapy more accessible have been implemented in both the United Kingdom (U.K.) and Australian health care systems through government-funded services (Clark et al., 2009; Hickie & Groom, 2002). The aim of the present study was to document the attitudes of psychologists and psychotherapists licensed to practice in Quebec toward accessibility to psychotherapy and government-funded psychotherapy programs. Participants (N = 1,275) completed an online questionnaire; results indicated that 77% of the sample strongly agreed that accessibility to psychotherapy should be increased. Participants indicated that priority for government-funded psychotherapy should be given to those with diagnosable mental health disorders, particularly mood disorders, anxiety disorders, and schizophrenia and other psychotic disorders, and psychological functioning related to health, injury and illness, and family difficulties. Participants indicated that treatment priority should be based on severity of illness. There was stronger agreement that clinicians working within a government-funded psychotherapy program should be paid on a session-to-session basis as opposed to receiving a yearly salary; to be able to set their own fee; and to have freedom to choose the appropriate psychotherapeutic approach (e.g., cognitive behavioural therapy [CBT], emotion-focused therapy [EFT]) and appropriate treatment materials (e.g., psychoeducational handouts) to be used in treatment. Other results concerning the structure of a government-funded psychotherapy program and the implications for increasing accessibility in a Canadian context are discussed.
L'accessibilité réduite aux soins de santé mentale au Canada a été qualifiée de crise silencieuse. La Société canadienne de psychologie a mis de l'avant des mesures qui pourraient être prises pour améliorer la situation (Peachey, Hicks & Adams, 2013). Des mesures visant à améliorer l'accès à la psychothérapie ont été mises en œuvre au sein des régimes de santé du Royaume-Uni et de l'Australie, par l'entremise de services financés par les gouvernements (Clark et al., 2009; Hickie & Groom, 2002). Le but de la présente étude était de documenter les attitudes des psychologues et des psychothérapeutes autorisés à pratiquer au Québec à l'égard de l'accès à la psychothérapie et de programmes de psychothérapie financés par le gouvernement. Les participants (N = 1275) ont répondu à un questionnaire en ligne. Selon les résultats, 77 % des répondants sont fortement en accord pour que soit accru l'accès à la psychothérapie. Les participants ont indiqué que les services de psychothérapie financés par le gouvernement devraient être offerts en priorité pour traiter les troubles de santé mentale diagnosticables, en particulier les troubles de l'humeur, les troubles anxieux, la schizophrénie et d'autres psychoses, les troubles psychologiques reliés à la santé, aux blessures, à la maladie, ainsi que les problèmes familiaux. Ils ont de plus indiqué que l'établissement des priorités devait se fonder sur la gravité de la maladie. Surtout, ils ont convenu que les cliniciens travaillant dans le cadre d'un programme de psychothérapie financé par le gouvernement devraient avoir les conditions de travail suivantes : être rémunérés à la séance et non selon un salaire annuel; être en mesure d'établir leurs propres honoraires; avoir la liberté de choisir la démarche psychothérapeutique (par ex., la thérapie cognitivo-comportementale ou la thérapie centrée sur les sentiments) ainsi que les documents de traitement qu'ils jugent appropriés (feuillets psychopédagogiques et autres). L'article présente d'autres résultats concernant la structure d'un éventuel programme de psychothérapie financé par le gouvernement ainsi que les implications d'une éventuelle accessibilité accrue aux soins dans le contexte canadien. |
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ISBN: | 1433818248 9781433818240 |
ISSN: | 0708-5591 1878-7304 |
DOI: | 10.1037/a0036453 |