Anticoagulants oraux directs (AOD) : une mise au point nécessaire

Nous sommes entrés depuis 2008 dans l’ère des anticoagulants oraux directs (AOD). Un bien ou un mal ? Un bien à la condition de les utiliser en évitant les mésusages, les sous-dosages et les surdosages. À condition aussi de comprendre comment ils ont été validés, comment les positionner, in fine de...

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Published inJournal de médecine vasculaire Vol. 43; no. 3; pp. 198 - 205
Main Authors Laroche, J.P., Becker, F., Schved, J.F.
Format Journal Article
LanguageFrench
Published Elsevier Masson SAS 01.05.2018
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Summary:Nous sommes entrés depuis 2008 dans l’ère des anticoagulants oraux directs (AOD). Un bien ou un mal ? Un bien à la condition de les utiliser en évitant les mésusages, les sous-dosages et les surdosages. À condition aussi de comprendre comment ils ont été validés, comment les positionner, in fine de mieux les prescrire. In 2008, we decided to enter the era of direct oral anticoagulants (DOACS). Was that the right decision to make? The answer will depend on how well we meet the conditions of proper use. This means avoiding underdosing and overdosing as well as understanding how DOACS were validated so that our prescriptions fulfill their role in the management of thrombotic disease.
ISSN:2542-4513
DOI:10.1016/j.jdmv.2018.02.005